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Foire aux questions

Voici les réponses aux principales questions que vous pouvez vous poser sur la chirurgie oculoplastique et la chirurgie réfractive.
Si vous n’avez pas trouvé la réponse à vos interrogations, contactez-nous directement.

Il est essentiel de réaliser un examen ophtalmologique complet (vérification de l’acuité visuelle, prise de tension oculaire, examen de la cornée, de la rétine etc…) pour vérifier qu’il n’y a pas de contre-indications à une éventuelle opération au laser.

La chirurgie au laser se déroule le plus souvent dans une salle de bloc opératoire pour des raisons d’aseptie. L’opération dure une vingtaine de minutes environ. Vous êtes allongé et devez seulement fixer des points lumineux. Vous conservez une vision (parfois trouble ou floue) pendant toute l’intervention.

L’intervention se déroule sous anesthésie locale et est parfaitement indolore. Les suites opératoires peuvent être désagréables (sensation de brulures, larmoiement etc..) pendant les heures suivantes.

Dans la majorité des cas dès le lendemain vous pouvez reprendre vos activités quotidiennes. Il faut faire attention pendant le mois suivant au risque de chocs et d’infection. Modérez vos activités sportives extrêmes.

Il faut attendre 3 à 4 semaines le temps de la cicatrisation totale.

Si votre correction optique était stable avant l’intervention l’effet du laser peut durer plusieurs années. Il peut y avoir des phénomènes de régression ou des variations de la vision pouvant amener à des retouches.

Les phénomènes infectieux sont rares mais il est important de respecter les consignes et le traitement post opératoires.

Le médecin réalisera avec vous un diagnostique de l’état général de votre peau et de son relâchement. Il décidera alors les produits à utiliser 

La toxine botulique ou Botox va détendre les muscles contractés du visage. Elle traite les rides d’expression en diminuant l’action des muscles qui les créent.

L’acide hyaluronique est présent naturellement dans le derme. Une fois injecté il va retenir l’eau des tissus et combler les rides plus ou moins marquées.

Le dosage est adapté à chaque patient

Lors de l’injection il peut se produire une sensation de piqure plus ou moins sensible selon les zones du visage.

Après l’injection de toxine on observe des petites grosseurs au niveau des point d’injection qui disparaissent au bout de quelques minutes.

L’acide hyaluronique peut entrainer un bleu ou un œdème facilement caché par votre maquillage habituel.

L’effet de l’acide hyaluronique est immédiat.

L’effet du botox se met en place au bout de 2 ou 3 jours. Il est optimum au bout de 15 jours.

L’effet du botox diminue au bout de 4 à 6 mois.

Celui de l’acide hyaluronique jusqu’à 12 mois.

Certaines pathologies (maladies musculaires, auto-immunes) ou une grossesse peuvent interdire certains produits.

Les injections peuvent avoir un effet préventif et se réaliser sans limite d’âge

La blépharoplastie (ou lifting des paupières) est une intervention de chirurgie esthétique des paupières permettant de traiter l’excédant de peau en paupière supérieure ou les poches graisseuses en paupière inférieure.
Sauf cas très particulier, il s’agit d’une intervention de type esthétique et ne peut donc pas faire l’objet d’une prise en charge par l’assurance maladie.

Elle est précédée par un examen clinique et ophtalmologique complet. L’intervention se fait en milieu chirurgical, le plus souvent en ambulatoire( vous restez quelques heures en clinique). L’anesthésie est locale avec sédation dans la très grande majorité des cas.
La chirurgie consiste en une ablation de peau selon un schéma précis. Selon les cas, elle peut être complétée par la réduction des poches graisseuses supérieures et/ou inférieures. L’incision est positionnée dans le pli palpébral en paupière supérieure, soit à 1 ou 2 mm sous les cils en paupière inférieure, rendant la cicatrice quasiment invisible à distance de l’opération. Dans certains cas, la réduction des poches graisseuse inférieures peut se faire à travers la conjonctive, ne laissant aucune cicatrice visible.
Les sutures sont réalisées avec des fils très fins à retirer alors en consultation au bout de 7 jours environ.

Les suites immédiates sont en général simples, marquées par un œdème palpébral parfois associé à un hématome. Ces derniers disparaissent progressivement au cours de la première semaine environ. Des troubles visuels sont fréquents les premiers jours (larmoiement, sécheresse oculaire, troubles de l’accommodation).
Le traitement post-opératoire comporte l’application sur les cicatrices de pommades antibiotiques et cicatrisantes, associée à des compresses glacées pour réduire l’œdème.

Les incisions sont classiquement réalisées dans le pli palpébral en paupière supérieure, ou juste sous les cils en paupière inférieure, ce qui permet de masquer naturellement les cicatrices. Dans certains cas, l’incision peut se faire à travers la conjonctive, sans cicatrice visible. Néanmoins , des cicatrices peuvent rester visibles pendant environ deux à trois mois (rougeurs, indurations, petits kystes…), et pendant cette période, le patient doit éviter de s’exposer au soleil. Le tabac peut être à l’origine d’un mauvais aspect de la cicatrice.
Les résultats définitifs sont jugés à 6 mois. Le plus souvent, le résultat est très satisfaisant

Avec le temps, le tendon qui relie les paupières à la partie externe de l’orbite (le tendon canthal externe) se détend progressivement, jusqu’à donner un aspect « d’oeil rond » et de scleral show.
Les fameux « yeux de biches » ou « en amande » peuvent être retrouvés en retendant ce tendon par une canthopexie externe ou une canthoplastie. Ce geste peut se faire au cours d’une blépharoplastie supérieure ou inférieure.

L’hématome palpébral profond, exceptionnel, peut nécessiter une reprise chirurgicale rapide pour évacuation.
L’ectropion (éversion de la paupière) avec ou sans « scleral show » (blanc de l’œil anormalement visible) peuvent rarement compliquer une blépharoplastie inférieure. Il s’agit d’une complication habituellement transitoire, la peau se relâchant rapidement avec la diminution de l’œdème et l’action des pommades cicatrisantes.
la lagophtalmie (insuffisance de fermeture palpébrale) peut également apparaître de façon transitoire. En attendant le relâchement spontané, le traitement consiste à réaliser des exercices de clignement forcés, d’hydrater l’oeil avec des collyres et pour la nuit appliquer des pommades cicatrisantes sur l’œil pendant quelques jours.

L’infection des paupières: complication rare, l’infection palpébrale ne touche habituellement que les tissus superficiels. Elle se traite par antibiotiques locaux et par voie générale, le plus souvent sans séquelles.
Rarement, les malpositions palpébrales peuvent persister ou apparaître tardivement, pouvant nécessiter une reprise chirurgicale.

Le cerne plein (poches sous les yeux) correspond à une hernie de la graisse orbitaire, avec une distension de la peau de la paupière inférieure.
Le traitement est habituellement chirurgical par voie de blépharoplastie inférieure (chirurgie des paupières inférieures).
Selon l’importance de la distension cutanée et les éventuels gestes chirurgicaux associés, l’opération peut s’effectuer passant par l’intérieur de la paupière (voie trans-conjonctivale, cicatrice invisible), ou par une incision cutanée, permettant de retirer l’excédent de peau. Dans ce dernier cas, la fine cicatrice sera masquée par le rebord des cils.

Dans d’autres cas, la paupière inférieure apparaît au contraire « creusée ». C’est le cerne creux qui peut se poursuivre par la Vallée des larmes.
Le traitement consiste à remplir le creux, essentiellement par injection d’acide hyaluronique ou par une injection de graisse (lipofilling)

Le cerne pigmenté correspond à une pigmentation plus ou moins visible située en dessous de la paupière inférieure. Les causes du cerne pigmenté sont diverses : héréditaire, vasculaire…
Son traitement peut être délicat car la peau de la paupière inférieure est très fine et ne tolère pas de traitement agressif.
Les injections de PRP  (Plasma riche en plaquettes) au niveau des cernes apportent une amélioration de la qualité et de coloration cutanée. A raison d’une à trois séances selon les cas, de très bons résultats peuvent être obtenus.
Les alternatives reposent le plus souvent sur les peelings, lasers cutanés ou crèmes dépigmentantes. Le maquillage reste une option efficace dans les cas difficiles à traiter.

Le médecin réalisera avec vous un diagnostique de l’état général de votre peau et de son relâchement. Il décidera alors les produits à utiliser

La toxine botulique ou Botox va détendre les muscles contractés du visage. Elle traite les rides d’expression en diminuant l’action des muscles qui les créent.
L’acide hyaluronique est présent naturellement dans le derme. Une fois injecté il va retenir l’eau des tissus et combler les rides plus ou moins marquées.
Le dosage est adapté à chaque patient

Pour la Toxine Botulique (Botox) il ne faut pas masser les zones injectées pendant 2-3 jours afin de ne pas faire diffuser le produit.
Pour l’Acide Hyaluronique au contraire il faut masser les zones injectées 2 fois par jour pendant 2-3 jours afin de bien repartir le produit.

L’injection de Botox est peu douloureuse. Une crème anesthésiante type EMLA pourra vous être prescrite avant les injections. L’Acide Hyaluronique contient un anesthésiant local ( xylocaine) qui rend les injections peu douloureuse. Certaines zones sont plus sensibles que d’autres.Lors de l’injection il peut se produire une sensation de piqure plus ou moins sensible selon les zones du visage.

Après l’injection de toxine ( Botox) on observe des petites « boules » ainsi qu’une rougeur au niveau des point d’injection qui disparaissent au bout de quelques minutes.Vous pouvez reprendre vos activités (professionnelles, sociales…) juste après l’injection.
L’acide hyaluronique peut entrainer un bleu ou un œdème facilement caché par votre maquillage habituel.

L’effet de l’acide hyaluronique est immédiat.
L’effet du botox se met en place au bout de 2 ou 3 jours. Il est optimum au bout de 15 jours.

L’effet du botox diminue au bout de 4 à 6 mois.
Celui de l’acide hyaluronique jusqu’à 12 mois.

Certaines pathologies (maladies musculaires, auto-immunes) la grossesse ou l’allaitement peuvent interdire certains produits.

Les injections peuvent avoir un effet préventif et se réaliser sans limite d’âge